depuis notre depart...

Depuis notre départ, impossible de se détendre… Nous ne semblons voir que le coté négatif des choses… Tout nous semble hors de prix, $3,50 pour ¼ d’heure sur Internet qui semble de ne plus en finir de ramer…, le prix des campings, ou pour recharger la bouteille de gaz (2 fois plus cher qu’à Perth !), etc. Le seul fait de payer le carburant et nous dépassons déjà allègrement ce que nous avions prévu pour la journée...
Bref nous explosons littéralement notre budget !!! D’où une certaine angoisse car nous n’en sommes qu’au début de notre voyage et nous espérons qu’il nous restera suffisamment d’argent lorsque nous rentrerons en France dans quelques années pour pouvoir acheter un autre camping car, cette fois afin de visiter l’Europe !

Samedi, lorsque nous arrivons, le camping bondé et le prix beaucoup plus élevé que prévu nous font dire que nous n’y resterons qu’une seule nuit. Comme nous devons quitter le camping au plus tard a 10 h le lendemain matin, nous décidons de nous réveiller de bonne heure pour profiter de la machine à laver du camping et faire notre lessive puis l’étendre, le plan étant de quitter le camping, rester dans les parages et revenir chercher notre linge lorsqu’il sera sec. Bien sur, le lendemain, bien que réveillés de bonne heure, le temps semble passer trop vite et l’heure du départ se rapprocher inexorablement… Le stress pointe le bout de son nez quand, soudain…, le déclic !
Nous sommes en vacances, nous n’avons aucune obligation sinon d’être à Adélaïde début décembre pour mon examen soit environ 1000 Kms et nous avons plus d’un mois et demi pour ça !
Autrement dit, rien ne presse ! Restons donc une autre nuit pour profiter d’un accès à Internet gratuit pour nous occuper de nos mails et démarrer notre blog…Le surlendemain, nous décidons de rester une nuit supplémentaire pour nous occuper du blog et de quelques petites choses administratives en prenant notre temps…

Au total nous sommes restés une semaine au cours de laquelle nous avons sympatisé avec Erika & Peter !
Et cette fois…, plus de problème pour se détendre ! Les bouteilles sont à moitié pleines et non plus à moitié vides (enfin…, avant qu’on ne les boivent, car nous travaillons dur afin d’alléger le van qui traîne un peu la patte dans les montées… !)